Votre capital
Durant ces dernières années, j’ai formé un grand nombre de parieurs ici en Grande-Bretagne. Certains d’entre eux ont décidé de devenir parieur à plein temps et donc vivre des paris sportifs.
Avant de franchir ce cap, la question qu’on m’envoie souvent est « Quel capital me faut-il pour vivre des paris sportifs? »
Votre capital (ou Bank roll) est ce qui vous permet de travailler. Comme une entreprise, pour survivre vous devez posséder un capital suffisant pour rester à flot en cas de mauvaise passe. Et bien entendu, pour un parieur sportif le danger n’est jamais très loin.
La plupart des personnes qui choisissent de devenir parieur sportif professionnel auront eu un emploi au préalable. Ils vont donc savoir quel salaire sera suffisant pour leur permettre d’avoir une vie confortable à eux et leur famille.
Connaitre la somme d’argent nécessaire dont vous avez besoin chaque année pour vivre convenablement est un bon point de départ afin d’estimer le montant que vous allez devoir engager dans les paris sportifs.
Vivre des paris sportifs est un investissement personnel
Etre parieur sportif professionnel est un travail à plein temps. Il faut plusieures heures quotidiennement pour faire le tour des matches du jour, sélectionner les plus intéressants, perfectionner ses stratégies, apprendre les marchés et comment les cotes bougent et enfin placer les paris.
Pour réussir en tant que parieur professionnel, vous devez y mettre les heures nécessaires. Il vous faudra prendre cette activité sérieusement comme un travail à plein temps.
Je ne vais pas rentrer dans le détail des calculs, mais grâce à mon expérience durant toutes ces années consacrées aux paris sportifs, j’ai pu estimer que pour parvenir à un revenu de 30 000€ annuel, il vous faudra un capital de départ d’un minimum de 45 000€.
Ce résultat est calculé selon avec mes stratégies de trade. Une partie de ce capital sera utilisé pour vos paris quotidiens. La seconde partie sera investie dans les paris long terme avec un rendement moyen supérieur à 30% par an.
Ce calcul est aussi basé sur un minimum de 70 paris par mois, il s’agit donc de plus de 2 ou 3 paris chaque week-end, donc du pari à gros débit, en évitant tout de même le sur-pari.
